Vidéo de l’entretien avec Josu Urrutikoetxea le 30 janvier 2021

14022021
Le 30 janvier 2021 Josu Urrutikoetxea a répondu aux questions de Juan et Clémence du Comité de Solidarité avec le Peuple Basque à Paris. Ce qu’est le Pays Basque, la naissance de ETA pendant la dictature franquiste, le maintien des structures franquistes après la mort de Franco, les tentatives de résolution du conflit auxquelles Josu Urrutikoetxea a participé, les procédures judiciaires qu’il subit actuellement qui concernent précisément sa participation à ces périodes de négociation, sont quelques uns des sujets abordés dans cet entretien, filmé par Anne de Galzain, qui a été diffusé pendant la Semaine Anticoloniale.
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[PODCAST] Txalaparta du samedi 11 avril 2020

11042020

logo fppTxalaparta est une émission du CSPB diffusée sur Fréquence Paris Plurielle, 106.3 FM, les seconds et quatrièmes samedi du mois de 18 h à 19 h 30.

Quelques amis proches de Yoann ont participé à cette émission qui lui a été consacrée. A Juan se sont joints  Sylvain, Pablo, Thibaut, Lili, Maider, Martial, Anne, Guillaume, Mina, Squale, Lorea, Erwan, Clémence, Jean-Baptiste, Roch pour rappeler ce que Yoann nous a apporté.

Pour rappeler la voix de Yoann, nous avons choisi une soirée de soutien aux prisonnières et prisonniers politiques basques et corses au cours de laquelle Yoann avait fait une intervention.

Si vous avez manqué l’émission en direct, vous pouvez l’écouter avec le lien ci-dessous :

yoann pour txalaparta




Paris accepte le mandat d’arrêt européen de David Pla

21112019

David PlaLa chambre d’instruction de la cour d’appel de Paris devait statuer sur la remise de David Pla aux autorités espagnoles  mercredi 20 novembre. Le mandat d’arrêt européen (MAE) a été accepté, mais la défense va présenter un pourvoi en cassation. La Cour de cassation a trois mois pour ce prononcer et pendant ce temps-là, l’ancien prisonnier reste en liberté, sous contrôle judiciaire.

Depuis sa libération le 18 avril dernier, après avoir accompli sa peine de prison, le militant navarrais se trouve sous contrôle judiciaire dans le cadre de la procédure de MAE. La demande des autorités espagnoles a été examinée le 25 septembre dernier. Lors de cette audience, son avocate Xantiana Cachenaut a rappelé qu’il avait déjà été arrêté pour les mêmes faits en 2010 à Hendaye, par la Police française. Une arrestation qui n’a donné lieu à aucune poursuite.

Elle a relevé, par ailleurs, que d’après les enquêteurs français le jour des faits — une réunion clandestine dans les Landes datant de 2008 —, David Pla se trouvait ailleurs et que plusieurs cours françaises ont déjà rejeté des MAE prononcés pour des faits commis sur l’Hexagone. Le jour de l’audience, le parquet a requis sa remise aux autorités espagnoles.

A l’issue de l’audience du 20 novembre, Me Cachenaut a regretté que les juges de la cour n’ont pas même respecté le travail réalisé par les enquêteurs et ont répondu favorablement à la demande des juges espagnols. Le mandat d’arrêt européen avait été signé par l’actuel ministre de l’Intérieur Fernando Grande-Marlaska alors qu’il était encore magistrat.

Représentant les mouvements abertzale EH Bai et EH Bildu, Jokin Etxebarria et Julen Arzuaga ont dénoncé aux portes de la cour d’appel la décision des juges. « Nous pensons que le processus d’extradition est inacceptable puisque la Police française elle-même avait confirmé que David Pla ne participait pas à la réunion pour laquelle il est inquiété aujourd’hui », affirment les deux structures politiques dans un communiqué. Elles estiment que « l’Espagne a prononcé ce MAE pour attaquer frontalement David [Pla] et ce qu’il représente. Il convient de rappeler le rôle important de David dans le processus de désarmement et de dissolution de l’organisation ETA. Le conflit politique doit trouver une issue politique ».

 




[PODCAST] Txalaparta du samedi 14 septembre 2019

16092019

logo fppTxalaparta est une émission du CSPB diffusée sur Fréquence Paris Plurielle, 106.3 FM, les seconds et quatrièmes samedi du mois de 18 h à 19 h 30.

Au programme de cette émission :

Extradition vers l’Espagne de Marixol Iparragirre après 15 ans passés dans les prisons françaises, empêchements de visites des familles et proches, demandes de libération conditionnelle de Lorentxa Beyrie et Xistor Haranboure.

Reportage sur les audiences pour Josu Urrutikoetxea, toujours détenu dans la prison de La Santé, depuis le mois de mai.

Mobilisations avant l’ouverture du macro-procès de la solidarité avec les prisonnières et prisonniers politiques basques à Madrid.

Retour sur le Contre G7 avec la diffusion de l’enregistrement d’une déclaration de Camille, observatrice de la LDH mise en garde à vue le 29 août.

 




CONTRE G7 en direct depuis le Pays Basque

19082019

CaptureEmmanuel Macron a fait le choix d’organiser le sommet du G7 à Biarritz du 24 au 26 août. Une décision prise en catimini, sans aucune concertation préalable. Reflet de la verticalité du pouvoir. Une décision hors-sol pour un sommet hors-sol.

Dans un exercice d’hypocrisie assumée, les chefs d’État allemand, français, italien, japonais, canadien, anglais et américain vont s’entretenir sur des questions de société en lien avec les crises majeures provoquées et aggravées par leurs agissements. Ils se présentent comme des pompiers alors qu’ils agissent en pyromanes.

Une cinquantaine  d’organisations sociales, syndicales, politiques du Pays Basque et autant d’organisations  françaises ou internationales se sont rassemblées pour organiser à Hendaye et Irun, des deux côtés de la Bidasoa, un Contre G7.

Des dizaines de conférences, d’ateliers, de débats vont se dérouler du 21 au 23 août. Une manifestation va partir le samedi 24 du Pays Basque nord pour arriver au Pays Basque sud. Des places seront occupées le 25 août autour de Biarritz.

Nous sommes sur place pour vivre cette mobilisation. Du mercredi 21 au vendredi 23, tous les jours à 12 heures Juan sera en direct sur FPP 106.3 FM ou http://rfpp.net depuis Hendaye ou Irun avec des participants au Contre G7.

En attendant les prochaines émissions du CSPB sur FPP ou Radio Libertaire, nous publions ici les dernières informations.

conf presse 20190819Lundi 19 août une conférence de presse a présenté le manifeste de la plateforme du Contre G7  et les dernières informations en euskera français et espagnol. Voici l’enregistrement en français :

Regardez et écoutez la parisienne libérée :

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Des alternatives politiques au menu du contre-sommet du G7

8082019

830x532_opposants-g7-biarritz-mobilisent-dejaSource : Mediabask du 06/08/2019

Du 21 au 23 août, Irun accueillera plus de 80 conférences et ateliers au parc des expositions de Ficoba, dans le cadre du contre-sommet du G7. Féminisme, migrations, diversité des peuples seront autant de thèmes au menu de ce riche programme. L’objectif de ce programme, articulé autour de sept thématiques, est de « comprendre l’architecture du monde actuel, approfondir les enjeux des luttes actuelles et créer un nouveau modèle ». Il sera complété par un week-end de mobilisations : manifestation le samedi 24 août à Hendaye et action « arc-en-ciel » dimanche 25 août.

Le programme est foisonnant et donne envie d’assister à tout. Il faudra cependant choisir parmi les plus de 80 activités proposées. Pour vous guider, MEDIABASK a retenu trois thèmes : le féminisme, les migrations et la diversité des peuples (processus de paix, prisonniers).

1) Féminisme

Mercredi 21 août, 14h-16h (salle cinéma) : « Contrat social ou contrat sexuel », atelier animé par Oihana Etxebarrieta (féministe et députée d’EH Bildu au parlement de la Communauté autonome basque) et Jone Etxebarria (militante du mouvement féministe).

Jeudi 22 août, 10h-12h et 15h-17h (salle 3 Ficoba) : « Femmes en lutte contre les inégalités sociales et économiques : face à la précarité et aux politiques d’austérité, des travailleuses et syndicalistes témoignent de leurs difficultés, de leurs engagements et de leurs victoires ». Conférence en deux parties en présence de Wangari Kinoti (ActionAid International), Murielle Guilbert (Union syndicale Solidaires – sous réserve), ELA, Syndicat en Turquie, LAB, coordinatrice de la grève 8M au Pays Basque, Las Kellys.

Jeudi 22 août, 17h30-19h30 (salle 3 Ficoba) : « Le féminisme en réponse à la crise écologique et sociale : y a-t-il un risque de récupération du féminisme par le G7 et le néolibéralisme ? Quelles perspectives offertes par l’écoféminisme et quelles propositions pour une transition écologique, sociale et féministe ? ». Conférence en présence de Luciana Ghiotto (Argentina mejor sin TLC, Attac Argentina, Foro feminista), Yveline Nicolas (Adéquations et collectif d’associations féministes françaises sur les enjeux internationaux), Vanessa Alvarez Gonzalez (Red Ecofeminista), Huayra Llanque (Attac France).

Le féminisme sera le thème central de la journée du jeudi. À noter aussi que le vendredi 23 août, deux ateliers seront consacrés aux « exemples concrets de résistance féministe » de 11h45 à 13h45 (salle 2) puis de 15 heures à 17 heures (salle 1). Les intervenantes restent à confirmer.

2) Migrations et accueil

Jeudi 22 août, 15h-17h (salle 2 Ficoba) : « Stratégies mouvements sociaux européens de défense des migrants ». Conférence en présence de Brid Brennan, TNI, un représentant de No Border, Paulo Illes (FSMM – sous réserve).

Jeudi 22 août, 15h-17h (salle cinéma) : « Emanciper les migrantes », atelier animé par Askapena, Ongi etorri errefuxiatuak et Julen Mendizabal.

Vendredi 23 août, 10h-12h (salle 2 Ficoba) : « Expériences d’accueil : Harrera ». Conférence avec Solidarité Migrants-Etorkinekin, Ongi Etorri Errefuxiatuak, Catherine Verbruggen, Irungo Harrera Sarea, Bizkaiko Harrera Sarea, Artea, Pisos ocupados autogestionarios.

Vendredi 23 août, 17h30-19h30 (salle 3) : « Regard sur les migrations depuis la perspective féministe : causes, transit et accès aux droits ». Conférence avec CEAR Euskadi, Julia Marti (chercheuse de OMAL, écoféministe et activiste au sein de Feministalde).

3) Diversité et liberté des peuples

Jeudi 22 août, 10h-12h (salle 1 Ficoba) : « La question des prisonniers politiques dans les processus de libération nationale et sociale ». Conférence avec des représentants basque, palestinien, kurde (à confirmer), catalan, corse (à confirmer).

Jeudi 22 août, 15h-17h (cinéma) : « Le rôle des acteurs/mouvements sociaux dans les processus de la Catalogne et du Pays Basque ». Conférence avec Jaume Bardolet (coordinateur international de l’ANC, Gure esku dago.

Jeudi 22 août, 17h30-19h30 (salle 2 Ficoba) : « Processus de paix au Pays Basque ». Conférence en présence de Michel Tubiana (président d’honneur de la Ligue des Droits de l’Homme), Jean-Noël Etcheverry ‘Txetx’ (artisan de la paix et cofondateur du mouvement altermondialiste Bizi!) et Xantiana Cachenaut, avocate au barreau de Bayonne et conseil des prisonniers politiques basques.

Vendredi 23 août, 10h-12h (salle 3 Ficoba) : « Etat, pouvoir et transformation sociale : les exemples de la Catalogne, de l’Ecosse et du Pays Basque ». Conférence avec David Fernandez (militant de mouvements sociaux en Catalogne), Larraitz Ugarte (député EH Bildu au Parlement de la Communauté autonome basque) et Jon Azkune (professeur d’université).

Vendredi 23 août, 17h30-19h30 (salle 1 Ficoba) : « Echanges entre les nations sans Etats ». Conférence en présence d’Arnaldo Otegi (EH Bildu, Pays Basque), Marta Rovira (ERC, Catalogne – en vidéo-conférence depuis la Belgique où elle est exilée) et Jean-Guy Talamoni (président de l’Assemblée de Corse, Corsica libera – en vidéo conférence).

 




23/05 : Soirée pour les prisonnier-es et exilé-es basques à Solidaires

5052019

Jeudi 23 mai à 18h Solidaires 31, rue de la Grange aux Belles (métro Colonel Fabien)

Avec au programme : la question des prisonniers dans le processus de paix, de la difficile sortie de prison et de l’aide apportée, et aussi sur le syndicalisme au Pays Basque et la question des prisonnier-es.

La diffusion du film (20 min.) : « Hau da ene ondasun guzia » (« C’est toute ma richesse ») dont voici le trailer : https://www.youtube.com/watch?v=QM_tP7j0Zvs

Interviendront :

  • Juan Salazar Fagoaga : membre de l’association Harrera (Accueil) et du Comité de Solidarité avec le Peuple Basque de Paris.
  • Gabi Mouesca : ex-prisonnier politique basque, ex-président de l’Observatoire International des Prisons et actuel Co-Président du Comité de Défense des Droits de l’Homme au Pays Basque.
  • Enaut Aramendi : secrétaire du syndicat LAB pour Iparralde.

La soirée se terminera autour d’un poteo (apéritif basque)

Lors de cette soirée sera évidemment évoquée la campagne annuelle « Askatasun gosez » (« Faim de liberté ») de l’association Harrera et de son fameux panier (voir pj) !

Pour les personnes qui reviennent de prison ou d’exil, afin que leur retour au Pays Basque se fasse dans des conditions dignes, il faut travailler plusieurs axes : santé, logement, lien social, argent, travail, démarches administratives, démarches juridiques…

Notre contribution à nous est de trouver des sources de financement pour constituer un fond de soutien. En Iparralde, le Pays Basque Nord, a été avons créé le projet Askatasun gosez pour récolter cet argent.

Askatasun gosez a choisi des produits des 7 provinces. 14 pépites produites dans notre pays, à manger, à boire et à savourer en remerciement d’une contribution solidaire de 50 euros.




Soirée de Soutien aux prisonnier.e.s politiques basques

4042019

AFFICHE 13  AVRIL

Soirée de solidarité avec les prisonnier-e-s politiques basques
Samedi 13 avril 2019 de 17h à 20h30
Centre Démocratique Kurde -16 rue d’Enghien- Paris 10ème.

En 2004, réunies à l’occasion de la Première Conférence Internationale sur les prisonniers et prisonnières politiques à Donostia (Pays Basque), plusieurs organisations ont adopté une déclaration faisant du 17 avril la Journée Internationale des Prisonniers Politiques. Cette date, choisie en référence à la Journée du Prisonnier Palestinien instituée en 1975, permet de rappeler à l’opinion publique que des femmes et des hommes sont encore détenus-es pour leurs idées politiques.

Aujourd’hui encore, des dizaines de milliers de militants-es politiques sont incarcérés-ées dans les geôles turques, marocaines, françaises, espagnoles, étasuniennes, israéliennes, mexicaines, sri lankaises, et autres… Ceux/celles-ci sont confrontés-ées quotidiennement aux brimades, aux traite-ments dégradants, à la torture et aux procès d’exception, auxquels s’ajoutent les conditions inacceptables de tout enfermement.

Les prisonniers et prisonnières politiques sont les parties et les conséquences de conflits politiques causés par le non-respect des droits nationaux et sociaux des peuples. C’est pour cela qu’il est nécessaire de construire de larges mouvements de solidarité en leur direction.

A Paris, depuis 2008, différentes organisations participent à la mise en place de cette solidarité en exigeant la reconnaissance du statut de prison-nier politique partout dans le monde mais aussi, et surtout, leur libération.

Cette année, le Comité de Solidarité avec le Peuple Basque vous invite à une rencontre avec Kizkitza Gil San Vicente qui a été emprisonnée à Fresnes de 2006 à 2010 alors que son fils avait quatre ans.

Aujourd’hui, son compagnon et père de ses deux enfants est détenu à Osny. Elle viendra témoigner du vécu des mères en prison, des compagnes, compagnons et des enfants des prisonnières et prisonniers politiques basques.




Les élus du Pays Basque Nord se mobilisent en vue de la manifestation du 12 janvier

5012019

elus ipar ehDe nombreux élus du Pays Basque Nord se sont réunis à Bayonne, samedi 5 janvier, lors d’une conférence de presse. Ils ont rejoint l’appel lancé par les Artisans de la Paix pour la mobilisation du 12 janvier à Bayonne. Treize mois après la dernière manifestation pour les droits des prisonniers à Paris, plus de 70 élus et anciens élus du Pays Basque se sont réunis pour une conférence de presse.

Lucien Betbeder, maire de Mendionde et président du Biltzar, a lu l’appel du 12 janvier 2019 auquel se sont déjà joints près de 150 élus de tous bords politiques.

elus ipar eh 2Appel du 12 janvier 2019

 Le processus de Paix engagé en 2011 à Saint-Sébastien, au Palais d’Aiete, sous l’égide de Kofi Annan, prix Nobel de la Paix, a connu deux avancées historiques au cours de ces deux dernières années : le 8 avril 2017 par le désarmement effectif de l’organisation basque ETA et le 4 mai 2018 avec la dissolution de l’ETA.

Parallèlement à cela, et grâce à l’implication sans relâche de la totalité des acteurs sociaux et politiques engagés dans la résolution du conflit au Pays Basque, un espace de dialogue s’est ouvert avec le Ministère de la Justice en octobre 2017. Cet espace de dialogue a abouti aux premiers rapprochements – selon des critères établis conjointement avec la délégation du Pays Basque – et aux premières levées de statut DPS (Détenu Particulièrement Signalé).

Entre mars et juin 2018, 25 prisonniers ont pu être rapprochés, et 22 statuts DPS ont pu être levés sur 36.

Nous saluons ces avancées !

Comme il l’a été souvent rappelé, la prise en compte de la situation des prisonniers, mais aussi la reconnaissance des souffrances de toutes les victimes, est un préalable incontournable à la mise en place d’un processus de paix solide et durable en Pays Basque.

Nous ne renions pas les blessures du passé mais souhaitons construire l’avenir de ce territoire de manière sereine et apaisée.

Aussi, nous en appelons une nouvelle fois au Gouvernement Français.

Nous lui demandons de rétablir les bases du dialogue engagé en octobre 2017 – à ce jour suspendu – afin d’avancer ensemble au rapprochement des prisonniers et à la libération de ceux qui sont malades ou en fin de peine.

Nous demandons, ni plus ni moins, l’application du droit commun, et affirmons notre volonté de poursuivre notre action à leurs côtés.

Le 9 décembre 2017, nous étions des milliers à défiler dans les rues de Paris derrière la bannière «Orain presoak» à répondre à l’appel des Artisans de la Paix.

Cette mobilisation ayant reçu le soutien de la Communauté d’Agglomération Pays Basque par le vote à l’unanimité d’une motion intitulée Processus de Paix – Déclaration au  Gouvernement», mais aussi de plus de mille élu-e-s du Pays Basque, des Pyrénées-Atlantiques et de Nouvelle-Aquitaine.

Pour toutes ces raisons, nous élu-e-s du Pays Basque nous joignons une nouvelle fois à l’appel lancé par les Artisans de la Paix à la mobilisation du 12 janvier à Bayonne!




Extraits de Txalaparta du samedi 27 octobre

28102018

Txalaparta, une émission du CSPB est diffusée sur Fréquence Paris Plurielle 106.3 FM les 2èmes et 4èmes samedi du mois de 18h à 19h30.

Samedi 20 octobre à la fin de la manifestation qui a rassemblé près de 40 000 personnes à Donostia pour exiger une autre politique pénitentaire des Etats espagnols et français, Michel Berhocoirigoin, l’un des premiers Artisans de la Paix, a fait la principale intervention, en euskara, à la tribune. Nous avons réalisé ensuite avec lui une interview par téléphone, qui a été diffusée pendant la dernière émission de Txalaparta, que vous pouvez écouter en cliquant sur le lien ci-dessous :

Au cours de la même émission Maritxu Paulus Basurco, l’avocate d’Ibon Fernandez Iradi prisonnier politique basque gravement malade détenu à Lannemezan, explique la situation d’Ibon. Cet enregistrement, qui a été réalisé avant la dernière demande de libération pour raison médicale qui lui a été refusée, est en euskara et traduite au fur et à mesure en français. Vous pouvez l’écouter en cliquant sur le lien ci dessous :







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